La mesure de l'humidité des sols avec des capteurs afin d'assurer un suivi ou un contrôle pour l'arrosage doit être basé sur des systèmes bien calibrés et pérennes.

Différents capteurs immersifs posent des problèmes d'hydrolyse (résistifs), de corrosion d'électrode,  (YL-69, FC-28) ou de composant (capacitifs SEN0193) avec une durée de vie de 1 à 6 mois et entrainant des valeurs erronées et des actions inopportunes. Certains capteurs industriels (TDR, FDR) sont efficaces mais chers et complexes à utiliser dans les petites exploitations agricoles.

Des capteurs externes mesurant l'humidité de l'air (SHT30 à SHT41, BMEx) donc hors sol et protégés dans des enceintes dédiées seront privilégiés. Les mesures corrélées à l'humidité du sol sont beaucoup plus sures mais les systèmes doivent être calibrés en local (type d'enceinte, sol, conditions climatiques.

 

Ici sont présentés une modélisation sur Vensim pour le calibrage et les codes des microcontrôleurs Arduino ou ESP de suivi et de déclenchement des pompes ou vannes d'arrosage.

Cartes élaborées à partir des données (inondations, incendies, submersion, séismes -supérieurs à 3 de magnitude, radon 3, qualité des sols et centrales) de la Plateforme ouverte des données publiques françaises. Le SIG utilisé est QGIS. Les risques liés au nucléaire, même faibles en France, font appels aux données sur GéoRisques et Green Peace. Les premiers cercles sont les zones PPI  et les plus larges sont les zones Fukushima,  "zone de contamination" avec un scénario hypothétique en cas d’accident grave.

carte catastrophes naturelles et habitabilité

En croisant les données ci-dessus, des cartes synthétiques peuvent être créées pour identifier les zones optimales en termes de sécurité et d’habitabilitée. permettent d'apporter un complément d'information  pour des investissements immobiliers ou d'entreprises.carte des catastrophes naturelles potentielles  et habitabilité

Le modèle étudié et proposé permet de déterminer les vitesses µ, les coefficients Ks, Ya/s, Yx/s dans les fermentations agroalimentaires (lactiques, alcooliques ...).

Le modèle de József Baranyi est une autre approche pour modéliser la croissance microbienne, souvent utilisée pour décrire la croissance bactérienne de manière plus réaliste que le modèle de Monod. Le modèle de Baranyi intègre à la fois une phase de latence, une phase de croissance exponentielle et une phase de déclin.

Le modèle est construit avec le logiciel Vensim. Les simulations sont comparées aux données expérimentales ou industrielles. Ce modèle permet aussi de travailler avec les fabrications du Kéfir ou du Kombutcha.

Publier les données issues de capteurs environnementaux et de microcontrôleurs dépend des processeurs utilisés et des infrastructures réseau disponibles. Voici les principales règles et méthodes à considérer :

3 systèmes sont proposés en tant que serveur ou pour une publication sur un site web avec des exemples avec le capteur DHT22

Modèle de départ avec les principales variables :

Ce modèle dynamique SEIR permet de comparer les dynamiques d'infection des maladies vectorielles en ajustant les paramètres environnementaux et biologiques et les méthodes de régulation (biologiques ou chimiques) via des curseurs interactifs.

  1. Ajustement des paramètres : Utilisation des sliders ou curseurs pour ajuster les paramètres comme la température, la photopériode, les précipitations, les taux de transmission, etc.
  2. Visualisation : Les courbes des humains infectés, par exemple, pour chaque maladie (paludisme, dengue, virus du Nil occidental, et Chikungunya) seront tracées sur un même graphique, vous permettant de comparer l'épidémiologie de ces maladies vectorielles en fonction des paramètres ajustés.

Ce script fournit une interface interactive pour explorer comment différents facteurs environnementaux et biologiques influencent la propagation de ces maladies.

Modélisation du Paludisme en France

Comparaison des courbes des humains infectés en fonction du temps pour les quatre maladies vectorielles (paludisme, dengue, virus du Nil occidental, et Chikungunya)

 

 

Introduction de moyens de lutte anti-vectorielle (LAV): Wolbachia, Densovirus, pesticides, piéges  ...