Mots descripteurs :
Analyses  biologiques ; Assainissement ; Assistance technique ; Audit ; Diagnostic technique ; Espaces verts ; Autres études ; Matériel pédagogique ;  Prestations de services ;  Surveillance ; Station d'épuration (exploitation) ; Végétaux ; Délégation de service public ; Formation ; Assistance à maîtrise d'ouvrage ;  Ingénierie ; Mise à disposition de personnel ; Sondage (enquête) ;
Régions :
Languedoc-Roussillon ; Midi-Pyrénées

Notre outil permet de construire graphiquement le système étudié, par l’intermédiaire de flux (rates en anglais) relies à des variables d’État (stocks, accumulations, “levels” en anglais), dépendantes du temps, mais qui peuvent aussi être influencées par des variables auxiliaires, au travers d’outils mathématiques qui permettent la construction d’équations et de fonctions complexes.

En écologie, la construction graphique permet de visualiser la dynamique du système modélisé, puis de mener une analyse de façon très flexible, en modifiant directement sur le diagramme, la valeur d’une variable, ou sa place dans le système et en s’appuyant sur des outils graphiques (tableaux, courbes) pour la visualisation des résultats de la simulation.

Dans notre cas  ou la gestion du milieu peut être définie comme une “gestion intégrée”, pouvant prendre en compte le climat, la gestion de l’eau, la demande socio-économique, la protection des espèces et de la biodiversité, cette modélisation présente des intérêts multiples.

Il permet de mettre en place des modèles simples en comparant entre eux les résultats des simulations de façon flexible, sur graphique ou sur tableau pour traiter ensuite les données avec toutes les possibilités offertes par ce tableur.

- La possibilité du choix du pas de temps, ainsi que du suivi de la simulation pas a pas,graphique ou numérique, permet de mettre en évidence l’influence d’une variable sur le comportement d’une autre, et de corriger les erreurs de conceptualisation du système.

- La construction graphique du modèle permet d’intégrer très facilement, et a n’importe quel niveau de son organisation, des variables “test”, qui suivent un comportement particulier et permettent d’optimiser le modèle, sans le perturber, ni le modifier. 

GE-EAMF travaille essentiellement sur la surveillance biologique des zones aquatiques (IQBG, I2M2, BMWP), ce sont des procédures de mesure de la qualité de l'eau utilisant des familles de macroinvertébrés comme indicateurs biologiques.

La méthode générale est basée sur le principe que différents invertébrés aquatiques ont des tolérances différentes aux polluants . Dans le cas de l'IQBG et du BMWP, elle est basée sur la sensibilité / tolérance à la pollution organique (c'est-à-dire l'enrichissement en nutriments qui peut affecter la disponibilité de l' oxygène dissous ). Il est important de reconnaître que le classement de sensibilité / tolérance variera selon les différents types de pollution.

Tous les macroinvertébrés capturés dans le filet sont stockés et conservés avec une solution d'alcool, et identifiés au niveau de la famille. Les autres indices pouvant être utilisés pour évaluer la qualité de l'eau sont le score de Chandler , l' indice biotique Trent et les protocoles de bioévaluation rapide.

Notre bureau met également en place des systèmes de monitoring basés sur des microcontrôleurs programmables pour les suivis des milieux aquatiques mais également aériens (qualité de l'air, détection d'activité, présences de certaines molécules indicatrices ...).

Etudes complémentaires: Indice d'intégrité biologique

 

Ingénierie Ecologique

Certains projets, compte tenu de leur nature et de leurs effets pressentis sur l’environnement, nécessitent, au regard du droit français, la réalisation d’une étude d’impact sur l’environnement qui est jointe au dossier de demande d’autorisation.

Cette étude doit être conforme au décret 2011-2019 du 29 décembre 2011, décret en application de la loi Grenelle 2 du 10 juillet 2010 en vigueur depuis le 1er juin 2012, et le contenu de l’étude d’impact et de son volet naturel doivent être conformes à l’article R.122-5 du Code de l’Environnement.

Les compétences de l'entreprise liées au métier:

- Connaissances naturalistes générales (botanique, ornithologie, herpétologie, entomologie, ...)

- Connaissance des services écosystémiques

- Utilisation courante des outils informatiques SIG

- Bonne pratique des outils informatiques en général (bureautique, modélisation, statistiques ...)

- Connaissance du droit et de la réglementation en environnement

- Pilotage d’activité et conduite de projet

- Animation de réunions de concertation

- Solide culture technique GE EAMF peut assurer hormis les études naturalistes et la détermination d'indices:

- l'instruction d'expérimentations: pour chaque expérimentation envisagée, il est

  • • Rédigé les objectifs et attendus ;
  • • Préparé les protocoles pour la mise en place du dispositif, . le déroulement des essais et l’évaluation des résultats (la mesure de l’efficacité du dispositif) ;
  • • résumé les contraintes règlementaires
  • lancé éventuellement les demandes d’autorisations administratives.
  • organisé les échanges avec les différents interlocuteurs identifiés.

- le suivi de la qualité, du coût , des délais des entreprises et intégration dans des process traditionnels de systèmes biologiques innovants de traitement  impliqués dans la participation aux études d'avant-projet (APS et APD)

sources (UVED, ONISEP et Wikipédia)